dimanche 8 décembre 2024

Jeunes félins en attente de régularisation...

Ces deux chats, adorables, l'un tout gris foncé et l'autre avec un plastron blanc sont actuellement nos hôtes en ce sens qu'ils viennent régulièrement, jours et nuits au moins trois fois, pour se nourrir, au même titre que nos familiers. Comme pour les nôtres, nous faisons le nécessaire pour qu'ils connaissent les meilleures conditions de vie possible, ce qui n'empêche que nous avons le soucis de ne pas négliger leur appartenance très probable à familles tout en cherchant à régulariser leur situation au mieux de leur intérêt. S'il arrivait que quiconque les reconnaisse, ou ensemble ou séparément, nous serions reconnaissants de nous le faire savoir, ne serait-ce que parce qu'il faille envisager, d'une façon ou d'une autre les démarches indispensables qui doivent être faites.

Ce sont deux jeunes félins très agréables, prudents vis à vis de leurs semblables, celui au plastron blanc probablement plus âgé et se tenant quand même à distance de l'humain, l'un et l'autre sans agressivité.

- Réponses attendues sur nos pages Facebook, Blog, Messenger ou téléphone et e-mails. Merci d'avance !...


samedi 7 décembre 2024

Les Marêts, en Fête de Noël à Augers en Brie, dimanche 15 décembre.

La ''Une'' de couverture du numéro 216 du Bulletin des Marêts, nous apprend que dimanche prochain à 15 heures se déroulera salle des Fêtes de Augers en Brie, la distribution des cadeaux de Noël.

Auparavant, l'on apprend aussi dans ce bulletin, qu'un nouveau spectacle sera proposé par la Compagnie Errance, qui a imaginé une adaptation théâtrale d'une œuvre de Pierre Bottero, ''La Quête d'Ewilan''. C'est un spectacle, est-il précisé qui donne envie de découvrir l'œuvre et l'univers des livres de cet auteur, notamment à travers cette trilogie qu'il diffusait en ce début de siècle et qui contribua à sa notoriété.

- Nous accompagnons notre propos de la photo de la couverture du bulletin.



jeudi 5 décembre 2024

Alain Peyrefitte, dans le cœur du Provinois...

C'est une pensée d'Antoine Rivarol qui me venait en mémoire en ce début de semaine : « Les rêves, la folie et l'ivresse prouvent que notre âme dépend beaucoup de notre corps. » Je suis sensible à cette formulation, ne serait-ce que parce que depuis plusieurs années, mon corps me conduit à changer de registre et, l'acteur que j'aurai imaginé continuer d'être, fait un nouvel apprentissage, celui du handicap.

Ce qui me ramène à ce que formulait Francis Vilmain, ami-artiste du Provinois, m'assurant peu de jours avant son décès, alors qu'il n'imaginait pas qu'il allait tirer sa révérence aussi rapidement, que ne pouvant plus s'extérioriser (sa façon d'exprimer cette frustration de ne plus avoir la possibilité de sillonner les rues de Provins à bicyclette), il avait ce prétexte, en toute légitimité, pour passer ses journées à peindre ! Une belle façon pour lui, à mes yeux, de ne pas quitter la toile, de rester dans le cadre...

Pour en revenir à cette pensée de Rivarol, l'on peut considérer que lorsque le corps vient à faire défaut, rêves, folie, ivresse ne sont plus de mise mais rien n'exclue cependant de laisser une trace, le souvenir d'un vécu partagé ou d'un partage vécu, d'un sentiment qui demeure... ce que cette photo que je joins à cet écrit peut souligner : j'avais utilisé le portrait d'Alain Peyrefitte pour annoncer l'hommage qui lui fut rendu à Provins, le dimanche 24 novembre dernier, dans le cadre du 25ème anniversaire de son décès, cérémonie à l'initiative du Conseil d'administration de l'Association des Amis et Collaborateurs d'Alain Peyrefitte, de Patrice-Loup Rifaux le président de celle-ci, d'Emmanuel de la Masselière son secrétaire général... La photo qui accompagne cet écrit, fut prise au Centre Culturel Saint-Ayoul, lors lors de la cérémonie de même, du 10ème anniversaire de sa mort, en novembre 2009.



lundi 2 décembre 2024

Et si le soleil était de la partie ?...

En ce début de première semaine de ce dernier mois de l'année, je constate que j'ai levé le pied, pas mal, dans la mesure où mon handicap articulaire se rappelle à moi encore plus, dès que je bouge... Le fait est que durant ce dernier mois, voire davantage même, j'ai décroché pas mal, et je me dis qu'il n'y a pas que mon arthrose chronique à mettre en cause : l'âge, le cognitif, la perte de facultés... D'où, pas à pas, reprendre du mouvement serait de bon augure !

Reprendre du poil de la bête est comme un défi, surtout que si j'utilise cette expression de notre français d'origine, les chats qui sont nos familiers nous en procurent pas mal, surtout au changement de saison.

Après ce préambule, histoire de vous souhaiter la meilleure semaine à venir, la première de l'Avent, je propose les photos prises à l'instant - il est 11h30 - de nos interprètes au grand cœur, Colibri, Gaïa et Pivoine qui, comme ceux qui dorment aussi dans une penderie, en haut d'une armoire ou dans le cellier, et que je n'ai pas voulu déranger, s'adaptent joliment aux conditions météorologiques... Comme un clin d'œil, mine de rien, au moment où je mets fin à ce propos, le soleil apparaît, complicité qui me va bien, comme à toutes et tous, j'espère... Du coup, je change le titre prévu au départ, de cet écrit !