Semaine d'après Pentecôte et d'avant pères en fête...

Quand l'on perd pied, que l'on a du mal à faire surface, surtout quand du fait de problèmes articulaires, l'on n'a plus usage de ses membres inférieurs, l'on n'est pas loin de toucher le fond... Quand de surcroît l'on a dépassé les huit décennies d'existence, il faut s'astreindre à de nouveaux apprentissages tout en s'estimant heureux que les cellules grises continuent de fonctionner, même si le cognitif commence aussi à donner des signes de faiblesse. Je me dis que ce peut être aussi une forme intéressante qu'a notre organisme, tous éléments associés, de faire en sorte de ne pas s'encombrer de notions sans utilités, ou du moins qui ne serviraient à rien, à pas grand chose, histoire de préserver un potentiel exploitable, dans les meilleures conditions.

Vous dire que je suis bien parti pour passer un C.A.P de plus, pas un Certificat d'Aptitude Professionnelle, mais un C.A.P.P.P., Certificat d'Aptitude à ne Plus Pouvoir Produire... Pourquoi pas ?

Trève de plaisanteries, alors que j'ai usé de bons prétextes pour me mettre en avant, après coup, je vous souhaite, aux unes, aux uns aussi, aux autres également, une fin de semaine d'après lundi de Pentecôte, aussi belle que cette première journée ensoleillée que nous venons de connaître. Pour souligner mon propos, quelques premières photos du moment...

- Colibri dans sa petite cage-chat en extérieur, devant la porte d'entrée qu'il franchit comme il veut, par la trappe...

- Pivoine, après une petite virée en ma compagnie, dans la cour, déguste quelques croquettes...

- Gaïa, sur le plan de travail de la cuisine, vient de rentrer et de manger un pâté en sachet...

- Isis qui vient de rentrer, est à l'étage et s'installe pour dormir...

- Phoebus, installé dans un lit à l'étage, vient de se réveiller et fait un brin de toilette...