mardi 28 mai 2013

J – 5: le printemps se fait désirer, pour la Foulée.


Nous avons toujours Pierre de Coubertin en référence, cet éducateur qui disait que le sportif va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre…



Les coureurs sur route, les plus humbles, sont à nos yeux les vrais sportifs et comme disait l’un d’eux, Fabien Canu, un grand du siècle dernier, ils ont beaucoup de choses à dire mais peu sont entendus. Nous les aimons bien, parce qu’ils font une action remarquable, en se dépassant, en allant au bout de leur effort, au bout d’eux-mêmes, plutôt que de chercher à se faire remarquer.
Nous les retrouvons tous les ans depuis que cette course existe rejoignant une autre catégorie de personnes qui au même titre qu’eux méritent toute l’attention, les bénévoles sans la persévérance desquels l’événement n’aurait pas perduré.



Dimanche 2 juin, on espère tout simplement que le printemps en aura assez de faire grise-mine. Il faudrait qu’il s’y mette: trois semaines plus tard, les jours commenceront à diminuer…
Il n’empêche qu’on suivra avec intérêt la course des benjamins de 2,2 km dont le départ sera donné à 9h40 ou celle des poussins de 1,2 km qui s’élancera à 9h50. De même que les courses des aînés, la populaire de 5 km qui partira la première à 9 heures, ou la Foulée par elle-même de 12,5 km qui fermera la marche à partir de 10 heures ?

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