lundi 31 août 2009

Soirée Country du Comité des Fêtes de Saint Brice

Lors de la dernière réunion du jeudi 13 août, les membres du Comité des Fêtes de Saint Brice et sa présidente ont mis au point les derniers détails de la soirée Country qu’ils proposent pour le samedi 3 octobre à 19h30, salle des fêtes du village.
À partit de 19h30, cette soirée comportera un dîner avec spectacle dansant, l’animation étant assurée par le Sourdun Country Dancer’s, avec sono et DJ. Le tarif par adulte sera de 20 euros et pour chaque enfant de moins de 12 ans de 10 euros.
Renseignements et inscriptions jusqu’au 28 septembre auprès de Françoise Martinand au 06.30.10.26.16 ou 01.60.67.75.39 après 18 heures.

samedi 29 août 2009

Les allitérations, du latin littera, lettre, littéralement

Dans le N° 1 du P.L.I. du Ru des Auges, petite lettre d’information des habitants de Saint Brice, nous évoquions, à la faveur du rappel d’un poème d’Émile Verhaeren, la place des allitérations dans la littérature. Et du coup, il était trop tentant d’en choisir une pour titre de cet écrit… Bien modeste certes mais dont on ne manquera pas de juger de la tonalité.
Si l’on s’en remet au Larousse, l’origine est latine et le mot est composé du préfixe ad et du mot littera, lettre. En cours moyen 1ère année, il y a quelque 60 ans, nous apprenions que c’était la répétition d’une lettre, souvent une consonne, qui donnait une sonorité particulière à une phrase. L’instituteur que nous avions alors, un certain Monsieur Rageaud nous avait fait aimer la langue française, notamment en nous faisant apprendre des poèmes comme « Le chant de l’eau », de cet auteur belge. Poème dans lequel se trouvait une allitération et, c’est en photographiant le Ru des Auges qui traverse Saint Brice, qu’elle m’est revenue en mémoire, avec son rythme et sa musicalité attachants : « Il passe et court et glisse, et doucement dédie aux branches qui sur son cours se penchent, sa chanson lisse… ». Quand l’allitération s’appuie plutôt sur la répétition d’une voyelle, on parle alors d’assonance.
De l’allitération, le langage courant en a fait un jeu avec les mots qui permet tout en s’amusant, de pratiquer des exercices de phonétique et de mémorisation. Parmi les plus habituels, les fameuses « chaussettes de l’archiduchesse qui sont sèches, archi sèches », le non moins amusant « chasseur qui sachant chasser, sait chasser sans son chien » ou le plutôt drôle mais irrévérencieux « c’est la pipe du papa du Pape Pie qui pue » de Jacques Prévert…
Le dictionnaire cite comme exemple le célèbre « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » que Racine fait dire à Oreste face à Pylade, dans Andromaque.
Ne résistons pas à la tentation, même si on le trouvera mal embouché de vous proposer celui-là: « Le maire plutôt marri d’être marron en sa mairie, en a marre, vraiment marre et ne se marre ». Par contre, comme sur une portée musicale, pour donner du relief, on peut prévoir un accident, une rupture. On aurait alors: « Le maire, marri d’être marron en sa mairie, en a marre, vraiment marre et … se barre ». Nous n’assurons pas qu’il s’agisse d’une mairie particulière ! Enfin bon...

Le N° 2 du P.L.I. du Ru des Auges paraîtra dans Saint Brice, dans les jours qui suivent. Heureux, sommes nous de vous livrer ce petit écrit en avant-première.

dimanche 23 août 2009

Échanges d'informations


Suite à l'information intitulée "Turbulences du côté du Ru des Auges", distribuée dans les boîtes à lettres des Saint Briçois, le maire et ses deux premiers adjoints ont fait réponse par le même canal. Pour respecter cet esprit de clarté toujours prôné, leur communiqué est présenté ci-contre.
Outre le commentaire rédigé ce samedi, suite à ce communiqué, je tiens à remercier ces trois élus de leur démarche, qui à mon sens et pour tous ceux qui m'ont fait part de leur sentiment, n'a fait qu'apporter du crédit à mon propos initial en faisant en quelque sorte la démonstration de ce que je pouvais évoquer.
"Il faut savoir faire amende honorable et, à la lecture du communiqué municipal distribué dans les boîtes à lettres en cette fin de semaine, je ne peux que saluer la grande capacité de réactivité des trois premiers élus (le maire et ses deux premiers adjoints), et leur belle propension à informer.
Je ne peux qu’encourager à prendre connaissance dans le moindre détail de cet écrit de leur part, tant il me semble riche d’enseignements, bien au-delà même des mots, et du style si caractéristique d’élus enclins au dialogue. Du coup, comme de nombreux Saint Briçois qui en ont formulé le souhait, je me mets à imaginer que prochainement, nous soit proposée une grande réunion publique d’information et d’échanges…
Toutefois, il subsiste une interrogation: la date du 24 août à laquelle ils font référence dans leur communiqué, pour des « directives officielles dont ils ne manqueront pas de nous tenir informés» n’est probablement pas le fait du hasard ?"


- Rémi Tillet (samedi 22 août 2009)
PS: Mon implication dans la vie de la commune, ne fait pas pour autant de moi un candidat aux prochaines élections partielles prévisibles.

« Touchez pas à nos grenouilles! ».


Nous ne pensions pas que l’on affectionnait les grenouilles à ce point, à Saint Brice! On imaginerait même la création d’une association de sauvegarde des batraciens en perdition… Et ça se comprend, surtout dans quand on réalise que dans ce charmant petit village, les rainettes vertes et autres apparentées auraient tout pour être heureuses, jusqu’à ce ru qui le traverse et qui leur réserve d’adorables petits coins de verdure et de fraîcheur.
Dans ce même élan qui animait tous ceux qui nous en ont parlé depuis que nous avons évoqué cette malheureuse histoire de marmite, nous proposons ce poème de Raymond Queneau, qu’il avait tout simplement intitulé: « Grenouilles »

Ne coassons pas
Dit crapaud papa ;
Nul coassement
Dit crapaud maman ;
Moi pas coasser
Dit crapaud jeunet.

Ils en font du bruit
Dit le vieux marquis ;
Vite une corvée
Disent les laquais ;
Ça, c’est pas marrant
Dit le paysan.

Si j’avais su ça
Dit crapaud papa,
Au lieu de nous taire
Dit crapaud mémère,
Nous aurions chanté
Dit crapaud jeunet.

Ce que l’on retiendra, c’est qu’il faut surtout ne pas se taire, même quand on n’est qu’une grenouille. Il n’y a pas plus muet (muette) que celui (celle) qui ne veut pas entendre! Certes autrement, il y a ceux (celles) qui sont plutôt secrets (secrètes), les « motus et bouches cousues » (connaissez-vous l’histoire de la grenouille à grande bouche ?), les timides, les discrets (discrètes), les pudiques, les réservés (réservées), les « à quoi ça servirait, puisque de toute façon, ça changerait rien ».
Certes, il a aussi des silences qui en disent plus que des grands discours! C’est pourquoi, mieux vaut ne pas nous étendre davantage. Mais alors, quoi? En fait, se taire, c’est renoncer à s’exprimer, c’est accepter le retour à la servitude, c’est n’être que le pâle instrument occasionnel de l’autre. Ce n’est pas parce qu’elles sont toutes petites que les grenouilles n’ont pas le pouvoir de se faire entendre. Écouter les, le soir par exemple, aux abords d’une mare, d’un ru… Seulement, si on les entend alors si bien, c’est parce qu’elles sont ensemble, d’une même voix. Ce qui fait leur importance, aussi petites soient-elles, c’est leur nombre!

mardi 18 août 2009

Un humour d’été …

…Vous avez reçu à votre domicile, un courrier émanant da la Banque Postale, vous avisant qu’un chéquier est à votre disposition au bureau de poste près de l’église Saint Ayoul. Vous vous y rendez et la personne qui vous accueille, après des recherches des plus consciencieuses, est obligé de reconnaître que le chéquier n’est pas encore arrivé dans son service: il note votre numéro de téléphone et vous assure que vous serez prévenu dès réception…

Vous ne manquez pas d’apprécier l’humour de la situation: la poste si décriée depuis quelques temps, par rapport à ses délais d’acheminement du courrier, a fait diligence au moins cette fois-ci, au point que celui-ci est même arrivé avant l’envoi dont il annonçait la mise à disposition!

Il se trouve que l’humour d’été est plutôt contagieux. À vingt pas du bureau de poste, en cette veille d’Assomption, vous apercevez une personne qui sort des locaux du presbytère, les bras chargés d’un plateau sur lequel il vous semble reconnaître étole ornée de la Croix, et autres pièces de liturgie…

Vous vous adressez alors à l’homme d’église que vous reconnaissez à son tour: « Bonjour! J’avais remarqué vos attributs sacerdotaux avant même de situer celui qui les portait… ».

Et lui, de vous répondre: « Et cela aussi, ça sert d’auto, avec ses quatre roues »… montrant du bout de son pied le véhicule auquel il parvenait, une superbe C3 aux plaques d’immatriculation neuves.

Et de vous expliquer qu’il allait servir une petite messe, un tout simple petit moment de partage et d’accompagnement avec les personnes âgées, à mobilité réduite, voire sans mobilité, de la Maison de retraite médicalisée du Centre hospitalier Léon Binet. Pas mal, en cette veille de journée dédiée à Sainte Marie et à l’avant-veille d’un dimanche de Saint Roch, le patron des lépreux et des animaux entre autres, que l’on fête un peu partout en France, en Italie, Espagne, Belgique, notamment dans l’Entre Sambre et Meuse…

Comme quoi, entre deux instances différentes, on peut trouver un lien commun: l’humour! Avec un grand ‘A’ comme disait un certain Père Geais, directeur de l’école d’éducateurs spécialisés de Pont-Achard de Poitiers, dans les années 60, lorsque j’y obtenais mon diplôme: « L’humour avec un grand ‘A’, car s’il ne comporte pas un bonne part d’amour, l’humour devient ironie, sarcasme ou dérision et peut blesser ». Et ce Jésuite de rappeler encore cette citation que l’on trouvait autrefois sur les horloges des églises ou au fronton des cimetières: « Vulnérant omnes, ultima necat - Toutes blessent, la dernière tue ! ». Il était question alors des heures qui s’égrènent inexorablement. Mais depuis, on l’a utilisée pour parler des flèches (Le martyr de Saint Sébastien, mais heureusement le tir à l’arc est devenu une pratique sportive…), et aussi des paroles, des mots qui sans humour-amour, deviennent des traits d’humeur et font mal.

dimanche 16 août 2009

Le chaton et le moineau










Dimanche 16 août 2009, jour de la Saint Roch, le patron des pélerins et de nombreuses confréries ou corporations comme les chirurgiens, les apothicaires, les paveurs de rues, les fourreurs, pelletiers, cardeurs, et autres corps de métiers... Il fut aussi le soigneur et protecteur des lépreux, contractant lui-même la maladie et devant s'isoler dans la forêt, à l'écart des autres. On dit que seul, un chien le rattachait aux autres, ce chien qui tous les jours, soustrayait un pain à son maître boulanger, pour l'apporter au reclus.
Pour sa part, Albert Camus ne l'a pas oublié et le remet en scène dans son livre "La peste", dans lequel il fait organiser par la population, à sa mémoire, une grande procession.
On le considère aussi comme le protecteur des animaux et c'est la raison pour laquelle ce blog propose quelques photos d'un chaton et d'un moineau, prises ce jour. Cela pourrait aussi illustrer une des fables de Jean de La Fontaine: "Le chat et les deux moineaux", ceci avant qu'un deuxième moineau du voisinage ne vienne semer la zizanie entre le chaton et le moineau qui s'étaient liés d'amitié... (Photos prises avec un numérique Canon EOS 300D de 6 millions de pixels équipé d'un objectif de 300. Sans aucun travail de retouche informatique, les couleurs étant le fait des ambiances de lumière liées à l'environnement).

samedi 15 août 2009

Turbulences du côté du Ru des Auges

Depuis l’annonce de la démission des cinq élus municipaux, nombreux ont été les habitants de Saint Brice à attendre que le conseil municipal en place (les onze personnes qui restent, puisque sur injonction du sous-préfet, le maire a été maintenu dans ses fonctions, jusqu’à nouvel ordre), prenne ses responsabilités sur le plan de la communication, de l’information. Or, rien dans les boîtes à lettres, rien sur les panneaux d’information municipaux depuis maintenant plus d’un mois: on ne peut imaginer pareil manque de prise en considération du simple devoir qu’une équipe d’élus devrait avoir vis-à-vis des administrés dont elle est la représentante.
Seules, circulent des informations de bouche à oreille, certain élu voulant se montrer le premier à annoncer les choses, d’autres déclarant ne rien savoir mais jouant les agents recruteurs, d’autres étant étonnamment absents de la scène locale (il est vrai qu’il y a les vacances…), et quelques conseillers déclarant qu’ils sont dans l’ignorance de tout (on avait cru comprendre !), tout en reconnaissant « qu’un bon coup de pied dans la fourmilière ne serait pas pour leur déplaire ». Il est vrai qu’on doit pouvoir comprendre et admettre que ceux-là puissent se sentir, ni assez libres (sans pression de quelque ordre que ce soit), ni assez forts pour le faire eux-mêmes.

Plus sérieusement…
Sur les informations que nous avions eues de source administrative sûre, nous pensons pouvoir redire que le maire a été maintenu dans ses fonctions (malgré son annonce de démission d’il y a plus d’un mois), et le sera jusqu’à ce que le Préfet de Seine et Marne, relayé par le Sous-Préfet de Provins, fasse parvenir en mairie de Saint Brice, un arrêté stipulant quelles seront les dispositions prises par leurs soins, en ce qui concerne la commune.
Il y a de fortes chances que des élections soient programmées à partir de la rentrée de septembre, le premier tour ne pouvant intervenir avant le deuxième dimanche de septembre et le tour suivant, quinze jours après. À partir de là, la nouvelle équipe de quinze élus reconstituée (les dix restants et les cinq nouveaux), devrait avoir deux semaines pour élire les maire et adjoint manquants.
Ceci étant le cas de figure le plus probable auquel on puisse penser, si rien ne vient changer la donne d’ici là, comme par exemple la démission d’un autre conseiller ou adjoint. Quoi qu’il en soit, les Saint-Briçois vont devoir retourner aux urnes et par là-même, se donner peut-être une chance de voir infléchir le cours d’une histoire (une non-histoire ?) qui aura duré quelques 18 mois. Ce qui est déjà mieux que ce qu’avait prévu un élu de l’équipe précédente, qui nous avait donné un an avant de voler en éclats! Pas de quoi se réjouir pour autant…

vendredi 7 août 2009

Christel Louis expose à Saint-Émilion



Christel Louis artiste peintre de la région de Provins, dont les élèves exposaient tout dernièrement leurs réalisations à la Roseraie de Provins, accrochera ses oeuvres sur les cimaises de la Salle Gothique, rue Gadet à Saint-Émilion du mercredi 19 au lundi 24 août.
Elle sera heureuse d'y accueillir Provinois et gens de la région. Entrée libre et renseignements au 06.81.14.09.96.

Libération de Provins

Le 65ème anniversaire de la libération de Provins se déroulera le jeudi 27 août prochain. Pour cette commémoration, rendez-vous à 18h30, square de Verdun, le rassemblement se faisant sur place.
La cérémonie débutera à 18h45 et comportera allocutions et dépôts de gerbes. Une cérémonie commémorative du même type est prévue par le maire de Chalautre La Petite , à 21 heures, au Monument aux Morts qui se situe sur la route de ce village à Sourdun.

Floraison intense, avec les roses de la Roseraie, la musique de Jeanne-Marie Reynaud et les photographies de Jean-Marc Paul.

Alors que d’Aude Le Morzadec, on y décroche tout juste les croquis, illustrations et dessins qui s’y trouvaient durant ces dernières semaines, la Roseraie de Provins propose de ce samedi 8 août au dimanche 30 août (avec un vernissage le dernier jour), les œuvres de Jean-Marc Paul, photographe argentique noir et blanc.
Cette exposition sera visible tous les jours de 10h à 19 heures et aura le privilège de débuter le jour où la ville organise ses deuxièmes « Lueurs du Temps » de l’été, la première ayant eut lieu, comme c’est maintenant l’habitude, début juillet.
Dans le cadre de ces Lueurs du Temps, la Roseraie en sera un des lieux de concert, puisque la harpiste Jeanne-Marie Reynaud, professeur de musique, diplômée du conservatoire de Paris, y jouera ce samedi 8 août en soirée Elle interprétera pendant une heure à partir de 21 heures, des œuvres baroques, classiques et romantiques.
Isabelle, Bruno Clergeot et leurs proches y accueilleront tous publics, tous visiteurs, avec d’autant plus de plaisir que ces jours-ci, dans cette Roseraie joliment restaurée et embellie, on aborde une période de floraison intense, comme l’indique l’hôte des lieux,
- Renseignements à la Roseraie de Provins, 11 rue des Prés (01.60.58.05.78).

Les Texans de Saint Brice passaient par là!

Depuis deux années déjà, ils avaient quitté Saint Brice pour les États-Unis. En ce début de juillet, ils sont revenus du côté du ru des Auges, saluer leurs amis et sont repartis pour Dallas, après un séjour plus au sud, dans leur famille.
Une année encore outre Atlantique, pour M. et J. – M. t et leurs enfants, encore que leur aîné est revenu en France pour ses études.
Au terme, à n’en pas douter, ils iront lever le voile d’horizons nouveaux… Nous leur souhaitons bon vent et bonne route!

En août, la chaleur peut encore sévir !

La santé de toute personne peut être mise en danger, lorsque trois conditions sont réunies: lorsqu’il fait très chaud, lorsque la nuit, la température ne descend pas ou très peu, lorsque cela dure depuis plusieurs jours.
Le plan national 2009 a prévu de nombreuses démarches et supports d’information. Cet ensemble ne doit pas conduire à considérer que le phénomène est parfaitement maîtrisé et circonscrit, d’autant plus que l’attention générale a tendance en ce moment à être focalisée par la grippe A. En quelque sorte, il ne faut pas penser que tout est réglé par rapport à la chaleur et qu’il n’est pas nécessaire de s’impliquer personnellement, chacun à son niveau. D’autant plus que le mois d’août peut réserver des coups de chaleur pouvant affecter les sujets les plus vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants jeunes, notamment les nourrissons. On a vu un bébé de quelques mois décéder de déshydratation en moins de deux heures, apparemment endormi dans le sac dans lequel l’adulte le portait sur son dos, ou encore, il y a peu, une personne âgée dépendante morte en 45 minutes pour avoir été oubliée plus des 20 minutes prévues, au soleil, sur la terrasse de l'établissement où elle se trouvait.
Quelques précautions
Quelques indications sont à respecter : pour soi-même, ne pas sortir aux heures les plus chaudes, se désaltérer régulièrement, au moins 1,5 litre par jour, s’alimenter normalement, maintenir le lieu où l’on réside à l’abri de la chaleur, le plus possible, s’efforcer de préserver son capital fraîcheur en s’imposant plusieurs heures par jour dans un endroit climatisé ou suffisamment refroidi…
Vis-à-vis des autres, redoubler d’attention en direction des personnes isolées, à mobilité réduite, vulnérables, ne pas hésiter à prendre de leurs nouvelles et les informer des possibilités d’aide qui s’offrent à elles, les signaler éventuellement aux services et structures qui ont normalement été mobilisés à ces fins, se dire que l’attention et le regard qu’on porte à ces personnes constituent une incitation pour ceux qui en ont la charge, à faire les choses au mieux. (La période des grandes vacances et l’insouciance qu’elle génère quelquefois, étant propice aux oublis, aux petites négligences à l’indifférence).
Où s’adresser?
Aux voisins, aux proches, à toute personne relai, tout service, et garder en mémoire (et sur tout support près de la main), le numéro de la mairie de Saint Brice (01.64.00.06.09), au 15 (Le SAMU), au 18 (Les pompiers), au 112 (numéro d’urgence unique européen), au 17 (La gendarmerie).
Renseignements aussi au 08.00.06.66.66 (Canicule info service).