En ce rayonnement qui caractérisait Francis Vilmain, l'on ne pouvait exclure le vélo, son moyen de locomotion de tous les jours, le seul d'ailleurs avec ses gambettes, comme il affirmait, qui avait grâce à ses yeux. Il se disait triste d'ailleurs que mes problèmes articulaires ne me permettent plus d'en faire, alors que c'était un de mes sports préférés avant que je sois définitivement empêché de me mettre en selle du fait d'une prothèse de hanche ratée et mal assumée en 1998, en cette clinique spécialisée parisienne. Il aurait aimé que l'on puisse faire des virées tranquilles ensemble, comme avec d'autres adeptes du ''deux-roues'' d'ailleurs, comme on peut le voir sur une des photos prises en ville basse de Provins.
Quand sur son cycle, il arpentait les rues de la cité où l'on ne manquait pas de le voir tous les jours, il se disait chanceux . La vie a voulu que lui-même eut des soucis articulaires et se trouva empêché sur ces dernières années d'y aller de son coup de pédale.
- Autre détail en lien avec Francis et montrant sa présence sur notre région, sur notre ruralité, cette photo de couverture du Bulletin d'avril de Les Marêts reçu ce jour et représentant, en lien avec un commentaire dans ses pages intérieures de Gérard Cognyl, maire de cette localité, une œuvre qu'il avait réalisée, ''Provins: la rue aux oignons''. Nous en reparlerons d'ailleurs prochainnement...
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