Il était pratiquement hors de pensée d'imaginer des violences urbaines dans le Provins actuel, cité médiévale inscrite au Patrimoine mondial de l'Humanité et quelle ne fut pas la surprise, l'effroi pour beaucoup de constater en ce dernier matin de juin, l'impensable réalité : en phase avec une réaction hexagonale encore que l'on peut se demander s'il n'en fut pas de même dans certains départements d'Outre-Mer, Provins n'a pas fait exception avec containers-poubelles brûlés en nombre, abris-bus aux parois vitrées brisées entre autres dégats, cars -une quinzaine- de la société Procars incendiés intégralement, enseignes dégradées dont la supérette Aldi complètement détruite par le feu, voitures -une trentaine- mises à mal dont certaines par le feu aussi...
Aux dernières nouvelles, il semblerait qu'au petit jour de ce 1er juillet, d'autres méfaits soient à déplorer de nouveau. Pour ceux qui ont vraiment vécu sur le terrain, dans la réalité du quotidien, les prémices de l'évolution de notre société durant ces cinquantes dernières années , il semble que l'on doive commencer à entendre ce qu'il ont essayé d'exprimer sans être entendus, tout en reconnaissant que d'une certaine façon, à des degrés différents bien sûr, selon certaines hiérarchies certes, nous sommes tous responsables.
- L'ami qui nous a communiqué ses photos prises au matin de ce dernier jour de juin, passionné de belles images, préférerait j'en suis convaincu nous faire passer des vues plus en rapport avec ce que nous aimons de la vie, de la nature...
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