Ga.L est une artiste qui s’est ressentie comme telle, depuis toujours. Toute petite déjà elle voyait sa mère peindre à l'aquarelle et s'essayait avec ses gouaches de l'école primaire…
Puis elle a peint à l'huile et dessiné jusqu'à ses 16 ans, avant de ranger, au profit d’autres arts, ses pinceaux… pour mieux les reprendre quelques années après ! De grandes retrouvailles.
Graphiste de métier, elle aime la photographie. Le cadrage, la couleur et la lumière sont des éléments qu'elle aime travailler, même si "travailler" n'est pas le mot qu'elle préfère… car ses toiles sont souvent faites d'un jet, comme pour la photo.
C'est "l'instant à l'instinct, immortaliser l'éphémère d'une image, d'une pensée, d'un sentiment ou d'une envie.’’
Pour Ga.L, la peinture est sa seconde langue natale comme la photo est son second regard.
Elle vous invite à écoutez ce que ses toiles racontent... À la bibliothèque municipale de Provins, jusqu’au 14 février, elle présente trois toiles, des acryliques.
Qu’il soit question des reflets de Paris, la nuit, dans les eaux de la Seine ou de la pression (oppression ?...) que font ressentir à pas mal de visiteurs, ces immeubles dominant la rue, ses réalisations ne manquent pas de provoquer une émotion.
Elle se retrouve en compagnie d’autres peintres ou graphistes comme Yap (Danielle Yapoujian), Annabelle Flon, Alain Ory, Francis Vilmain, apportant une touche de couleurs aux tirages photographiques exposés par Fabienne Husson, Patrick Auvinet, Romain et Rémi Tillet.
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