Ce matin même, en ce jeudi 10 février, nous avions le plaisir de récupérer nos éléments d'ordinateur qui nous avaient donné quelques soucis ces derniers temps. Par la même occasion, passage de Windows 7 à Windows 10... alors que les différents médias font état de l'arrivée de Windows 11! Il est évident que nous perdons de plus en plus de notre autonomie, de notre libre-arbitre. En tout cas, nous avons apprécié l'accueil chaleureux et professionnel, pas pour faire une publicité à l'entreprise Nantillet, vu que nous avons le sentiment de représenter peu de chose et ce d'autant plus qu'il n'en ont nul besoin, mais parce que de façon amusée et bien sympathique, nous avons fait le lien entre nos états-civils: Nantillet et Tillet... Il s'en est résulté comme un déclic de circonstance:
Nantillet, Tillet... et quoi encore!
- Tillet, nanti d'un ordinateur révisé, remis en état par le technicien en informatique Nantillet... voilà bien de quoi se pencher un rien de temps, en un rien de mots, sur ce rapprochement identitaire! Comme quoi il arrive que des mots, aussi décousus soient-ils, puissent créer un lien, atténuer les effets de quelques maux... en pointillés. Du coup j'en arrive à reconsidérer qu'un ''point - Tillet'' pourrait bien avoir quelqu'effet: à l'orée de mes 80 printemps, et, dans ce dernier mien-quart-de-siècle déjà largement entamé, je décide comme cadeau de mon prochain anniversaire, de m'autoriser à ouvrir les vannes de propos, de pensées que je n'avais pas eu l'idée d'écrire encore.
L'on me dira peut-être: ''vous êtes en tort Tillet'', réflexion déjà mille fois entendue. Peut-être aurai-je alors une pensée encore plus forte pour le nom de famille prédestiné de ma mère née tonkinoise, ''Lê Thi''... en rapport inversé avec celui de mon père, ''Tillet'', issu des Charentes. Lien renforcé entre une langue monosyllabique d'origine et celle qui est devenue mienne. Ceci-dit, je n'oublie qu'à partir de notre arrivée en France alors que je n'avais que quatre ans et demi, et ce, jusqu'à mes douze années (j'étais alors au collège René Descartes à Châtellerault, en quatrième), l'on m'a surtout appelé ''Le Chinois vert à pattes jaunes'' ou le ''Chinetoque''!
Toujours est-il que les soucis posés par l'ordinateur pour nos suivis informatiques, à contribué à accroître ces dispositions, ou plutôt ce manque de dispositions qui m'ont fait lever le pied, ce qui n'empêche qu'il n'y a pas eu que cela: comme souvent, justement quand l'on perd pied, l'on est moins en capacité de faire face aux imprévus, aux impondérables et l'on est alors sujets à une accumulation de problèmes de tous ordres, pratiques, somatiques, affectifs, psychologiques, relationnels... entre autres!
Et puis, l'on s'efforce malgré tout de trouver les moyens de repartir d'un bon pied ne serait-ce qu'histoire de faire un pied de nez à ces déconvenues. Je ne garantis pas de repartir d'arrache-pied mais vais m'efforcer de ne pas rester les deux pieds dans le même sabot, ce qui n'empêche que je ne trouve pas forcément çà beau!
Je ne vais pas faire le pied de grue en attendant vos retours-Facebook, mais n'hésitez surtout pas à me laisser entendre que vous pensez que je suis bête comme mes pieds.. ceux-ci affectés actuellement par les effets lymphatiques pas sympathique du tout, d'un dia...bête!
- Pour accompagner cet écrit un rien décalé, la photo prise ce jour, de Phœbus qui, comme Aslan, appréciait beaucoup de nous tenir compagnie dans nos pérégrinations informatiques et un tantinet consolé de retrouver ordinateur, écran et clavier...
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