dimanche 4 février 2024

Petit souriceau que les chattes nous ont permis de tirer d'affaire...

L'on était à une petite heure de basculer vers ce début de semaine, que nous vîmes deux de nos chattes, Isis et Pivoine, arriver de dehors avec de nouveau, un souriceau. Ce dernier semblait encore en vie et nous sommes parvenus à le saisir. Vérification détaillée faite, nous n'avons constaté aucune blessure et nos deux prédatrices m'ont regardé avec intérêt, faire quelques photos. (D'ailleurs j'en propose une).

Après un bon moment passé en cette compagnie, je suis allé libérer ce nouriceau qui se montrait très actif après un temps de sidération, en le mettant dans une remise attenante dans laquelle les chats ne vont pas en ce moment et où il y a assez de désordre pour que ce petit rongeur se tire d'affaire et continue de vivre...

J'en profite pour faire ma petite parenthèse dans le cadre de la démarche à laquelle j'ai souscrit, de prendre en considération tous nos amis ''4 pattes et autres'' en soulignant que nombre d'hommes de notoriété, de pouvoir ont détesté ou redouté pour le moins, les chats, comme ce fut le cas, rapporte t'on, de Jules César, Gengis Khan, Mussolini, entre autres. Napoléon 1er lui-même, fut surpris un soir, à hurler de terreur, face à un chaton faisant irruption dans sa chambre!...

- Et pour le plaisir, j'ajoute cette pensée positive de Sénèque: ''Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas les faire, mais parce que nous n'osons pas les faire qu'elles sont difficiles''. À méditer, pourquoi pas, dans le contexte politico-socio-agricole actuel...



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire