D’origine hébraïque, le prénom de Daniel a pour version féminine celui de Danielle. Les Danielle auraient bien mérité l’existence d’une sainte, ne serait-ce qu’en France, plutôt que de n’être que le dérivé du saint masculin. Encore que…l’on y peut voir là peut-être, comme un signe !
La forme masculine justement, est formée en hébreu de ‘‘Dan, juge’’ et de ‘‘El, Dieu’’, ce qui littéralement se traduit par ‘‘Juge dieu ou jugé par dieu…’’.
Le Journal des Femmes déclare : ‘‘Les Danielle sont volontaires. Optimistes, enjouées et toujours prêtes à rendre service, elles sont appréciées de tous. Dans la vie professionnelle, les Danielle sont ambitieuses. Pour elles, les études et le travail passent souvent avant le reste. On les apprécie particulièrement pour leur sens de l'organisation et du devoir. Les Danielle ont ce côté terre-à-terre qui leur permet de voir la réalité en face et de prendre les bonnes décisions. Mais les Danielle ne sont pas des machines pour autant. Pour se sentir comblées, elles ont besoin d'amour et d'affection de la part de leur famille et de leurs amis.’’
On souhaite donc leur fête aux Danielle, le 11 décembre. Certes on honore ainsi Saint Daniel le stylite. (Saint Daniel rencontra au Vème siècle, Siméon l'Ancien qui devint son modèle : il passa alors une trentaine d'années à vivre en ermite et à méditer au sommet d'une montagne. Saint Daniel est mort le 11 décembre 489.)
Le 11 décembre, l’on fête aussi les Dan, Dana, Dane, Dani, Daniel, Daniela, Danielo, Danila, Danitza, Danièle, Dany…
- Nous connaissons certaine Danielle qu’on appelle aussi Dany dans sa famille et qui doit être bien dans ses petits souliers…de Noël, tout comme cette autre Danielle qui met ses chats en peinture et dont on peut assurer qu’il n’y a pas qu’en peinture (et pastels) qu’elle les aime. L’on n’oublie pas les autres, bien sûr, comme ce Dan qui, outre les animaux et la nature, adore les mécaniques anciennes, Dauphine et autre 4L avec lesquelles il concourt dans rallyes, slaloms et autres courses de côte…
À tous une bonne fête et cette pensée de Fiodor Dostoïevski, que nous propose pour ce jour, Edgar Morin dans son éphéméride: ‘‘ Ne vaut-il pas mieux corriger, retrouver et redresser un être humain que de lui couper la tête ?’’. Hélas, d’actualité, non ?
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