Ce mois de juin qui vient de se terminer aura de forte chance de rester dans les mémoires, tant il fut riches d'événements en tous genres, tant au niveau local avec une reprise attendue et particulièrement réussie de manifestations festives aussi variées qu'attrayantes, ludiques, artistiques, scèniques, de plein air, pour tous les âges et dans la plupart des localités qu'au niveau sociétal, politique que législatif avec notamment des options gouvernementales, présidentielles qui n'auront pas manqué de surprendre et qui laissent supposer des lendemains préoccupants.
Bien qu'étant à la ramasse si je puis m'autoriser cette expression dont l'origine est généralement associée à l'argot des bagnards d'un temps, du fait qu'après leurs travaux forcés du jour, il leur fallait ramasser les outils avec lesquels ils avaient dû œuvrer sous la contrainte, il se trouve que je m'évertue à reprendre du poil de la bête, autre expression qui ne me vaut pas la désaprobationn de nos chats, dans la mesure où les leurs ne nous font pas défaut et aussi parce qu'à ses débuts cette façon de dire était surtout en rapport avec les chiens qui lorsqu'il arrivait que l'on se fasse mordre, devait nous procurer leurs poils qui, appliqués sur les plaies, permettaient une cicatrisation plus rapide: une façon, disait-on aussi de soigner le mal par le mal... Libre à chacune, chacun de voir le rapport, que je souhaite humouristique à priori, avec les événements actuels, dont le vote du week-end à venir!
- Pour illustrer ce propos, quelques photos prises au cours de ce mois, ou qui m'ont été adressées par des amis qui ne manquent pas de s'associer à ma réflexion et que je remercie, tout en espérant que l'avenir soit davantage de partages, de reconnaissance que de conflits, d'égocentrisme... La photo de l'article est celle du Parisien, article paru ce lundi.
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