Le Festival des brebis et de la laine de Bray sur Seine, ces 10 et 11 septembre

En moins de six semaines, Bray sur Seine aura connu deux grands festivals: celui de musique fin juillet et celui que la ville s'apprête à vivre, samedi 10 et dimanche 11 septembre, consacré aux brebis et à la laine. Ce sera une grande fête, sur le bord de Seine, sous les platanes du Parc des Géants et tout autour, dont une traversée de la ville par les moutons à plusieurs reprises, à 10h30 et 15h45 le premier jour et à 10h30 et 14 heures le lendemain...

''Da pastoralisme à la laine, nous assurent les organisateurs, histoire d'effectuer l'approche la plus authentique, à travers l'intérêt écologique du pâturage, de la bonne utilisation de la laine et de la cohabitation saine avec les moutons.''
Découverte, on l'imagine riche de multiples facettes à travers les présentations de nombreux exposants, pratiquement une quarantaine, d'animations et ateliers les plus variés, ludiques et pédagogiques, un grand moment de conte sous la yourte, des projections de films (Tsering bergère au Ladakh), des conférences et tables rondes, des démonstrations, notamment de tonte et de transformation de la toison jusqu’au fil avec teinture végétale, filage, des réalisations, comme celle d'une écharpe de 85 mètres de long, ou de tapis destinés à des chats d'une association de la S.P.A., sans oublier la visite « pâturage et biodiversité dans la réserve naturelle de la Bassée », l'argument de la restauration, en lien bien sûr, avec des cuisiniers professionnels qui proposeront des recettes à partir de produits locaux et de saison et l'apéro-concert du samedi soir...

Le programme détaillé est accessible sur le site du Festival: www.festivalbrebislaine.fr, sur le Facebook de David Sottiez que nous remercions de nous tenir au courant de même que Maryse Mahdjoub ou Les Arts en Boule, entre autres. Aussi sur notre Facebook ''François Rémi Tillet'' qui partage l'information.

- Nos photos: outre un partiel de l'affiche de ce Festival, nous proposons une photo prise lors de l'exposition de février à Chalmaison, où Marine Gillier nous montre qu'on peut aimer la voir filer et vouloir la retenir en même temps...