dimanche 30 mai 2010

Une rose et un poème pour rendre hommage à toutes les Mamans.




C’est auprès des enfants que la Fête des Mères prend le plus de sens, tout son sens. Et parmi les très nombreux pays qui observent cette fête une journée l’an, il y en a un la Mongolie qui les a réunis dans une même fête. On y fête le même jour, les mamans et les enfants.

Au fil des siècles, la Fête des Mères, se matérialisa de multiples façons et l’une des premières traces remonterait à la Grèce antique, quand on célébrait Rhéa ou Cybèle, la grand-mère des dieux, Zeus entre autres. Sans aller si loin dans le temps, c’est à Lyon en 1918 que l’on mit en place une journée dédiée aux mères et aux épouses qui avaient perdu un fils à la guerre. En 1920, c’est davantage aux Mères des familles nombreuses que l’on pensa, avant qu’en 1929, cela ne devienne la journée des Mères. Vichy l’institua en 1941, au service d’une politique nataliste.

C’est après la dernière guerre, par la loi du 24 mai 1950 que la République Française rend officiellement hommage, chaque année, aux Mères françaises au cours d'une journée qui leur est consacrée, organisée alors par le ministre chargé de la Santé avec le concours de l'UNAF et que la date du dernier dimanche de mai est choisie, sauf lorsque celle-ci coïncide avec celle de la Pentecôte, auquel cas elle est repoussée au premier dimanche de juin.

Une rose et un poème.
Tout en sachant que la Fête des Mères recèle une alchimie propre à chaque cellule familiale, à chaque situation particulière, nous rendrons hommage aux mères, en leur offrant cette rose photographiée en bouton ces jours-ci, la première du jardin, et qui nous à fait le bonheur de s’épanouir totalement ce dimanche matin. Rose prise à chaque fois au petit matin, encore couverte de rosée ou de la pluie de la nuit. Hommage aussi, avec ce poème de Maurice Carême appris à l’école et qui aida bien des générations d’enfants à exprimer tout leur amour:

"Il y a plus de fleurs
Pour maman dans mon cœur
Que dans le monde entier
Plus de merles rieurs
Pour maman dans mon cœur
Que dans tous les vergers
Et bien plus de baisers
Pour maman dans mon cœur
Qu’on en pourrait donner".


- Et pour faire bonne mesure, cette citation de Propico: «Un homme peut prouver à sa femme qu'il l'aime en lui offrant une douzaine de roses. Son petit-fils peut faire la même chose, avec une poignée de pissenlits offerte à sa maman ou à sa grand-maman ».

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